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Et si vous adhériez au CRAP ?

Ils sont adhérents, militants, depuis un an, dix ou trente ans au Cercle de recherche et d’action pédagogique. Pour eux, le CRAP c’est…
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« Pour moi, le CRAP, c’est travailler autrement. Au début de ma carrière, j’ai découvert les Cahiers pédagogiques qui m’ont accompagnée dans ma réflexion pédagogique et aidée dans mes pratiques professionnelles. L’interdisciplinarité, le travail en équipes pédagogiques, le travail en groupes des élèves ont été mon quotidien. »
Réjane Lenoir

« La première chose qui m’a marqué a été ce sentiment de confiance générale et d’ouverture qui régnait. Je m’y suis trouvé accueilli à bras ouverts, et j’ai senti l’intérêt des autres pour moi, mon histoire, ma pensée. »
Fadi Makki

« Le CRAP, je lui dois toute ma formation didactique et pédagogique de base, notamment sur le travail de groupe avec Philippe Meirieu, l’évaluation avec Marie-Claude Grandguillot et la pédagogie différenciée ou les styles d’apprentissage avec Jean-Pierre Astolfi. Ce qui m’a toujours frappée, c’est que ces personnes qui m’ont tant appris étaient d’une grande modestie. »
Hélène Eveleigh

« Au CRAP, on est considéré d’abord pour sa présence, sa capacité à entrer en relation et à rencontrer les autres. On n’y est pas évalué pour sa place dans quelque organigramme universitaire, administratif, syndical ou politique. On y entre par la passion du métier et pour le besoin d’enseigner au long cours, avec toujours le plus de plaisir possible. »
Raoul Pantanella

« D’abord lectrice des Cahiers pédagogiques, je suis venue chercher aux manifestations CRAP ce que je percevais dans la revue : une idée positive de l’école, une prise en compte de la complexité des situations du travail quotidien, un certain sens de la mesure, une volonté d’agir malgré les résistances et les obstacles. »
Nathalie Bineau

« C’est le brassage des idées qui au CRAP m’a beaucoup marquée. Des idées théoriques, des idées pratiques, des idées politiques, des idées qui parlent de l’intime, celui de l’élève ou de l’enseignant, des idées qui s’élaborent, se cherchent, évoluent. Elles font naitre le doute, les questions, la remise en cause, elles ébranlent ou rassurent, mais font avancer : ce continuel brassage est un formidable levain. Un levain qui m’a aidée à me construire professionnellement et humainement. »
Édith Miquet

« Pour moi, le CRAP, c’est quarante-deux ans de compagnonnage, et autant de rencontres d’été. Jeune enseignant, il m’a donné la formation que je n’avais pas à l’Éducation nationale. Formateur, il m’a proposé des démarches, dispositifs, outils. Chercheur, j’y ai trouvé un excellent observatoire sur la façon dont les innovateurs affrontent avec audace les difficultés rencontrées à l’école. »
Michel Tozzi